« Marianne Muller a précisément fait du dialogue la matière d’un disque curieux, poétique, libre, partagé entre le XVIIè siècle aventureux de Tobias Hume et une série de ‘petits modules’ d’Eric Fischer. »
Auteur/autrice : Perrine
Le Monde
« Marianne Muller, en solo ou entourée de deux comparses, joue cela ( Tobias Hume ) avec la fantaisie rêveuse et piquante qui convient »
Diapason
« Marianne Muller a un don, celui de créer en quelques notes un univers qui suffit à capter l’attention sans devoir mettre en avant le geste virtuose qui nous éloignerait fatalement de ces mondes rêvés. Il y a du Kempff dans cet archet. Il y a du Couperin dans ce Marais »
Diapason
« Marianne Muller réussit à nous passionner là où d’ autres, nombreux, nous lassent un peu… Un travail d’une grande finesse sur les tempos, une conduite des phrases magnifique, un rubato léger, un art de la suspension rythmique qui fait frissonner… »
Diapason
« Marais découvre avec Marianne Muller un autre visage. Plus secret. Non moins troublant quand il glisse et frémit sur les festons brodés par la guitare d’Eugène Ferré et le théorbe de Pascal Monteilhet dans tel prélude ou quand il respire à plein poumons la radieuse Sarabande en sol du Troisième Livre. »
Dernières nouvelles d’Alsace
« Entente parfaite entre Marianne Muller et Willem Jansen, contrôle impressionnant d’une viole de gambe aux sonorités étonnamment modernes et usage minimal d’un vibrato toujours judicieusement placé. Clavecin extraordinairement clair. Un duo bouleversant ou couvait, sous l’âpreté du discours, un feu dévorant. »
Le monde de la Musique
« Le moindre détail expressif est rendu avec une sensibilité et une émotion pour le moins communicatives, sans ôter la puissance charnelle nécessaire aux mouvements plus incisifs. »
France Ouest
« Marianne Muller est au dessus des querelles d’écoles pour ne servir que la musique : elle le fait de façon magnifique et c’est pour cela qu’elle s’est hissée au niveau des plus grands, incontestablement. Le jeu de Marianne Muller, faut-il le redire, est chaleureux, vivant : il est merveilleux de précision et de sensibilité, sans tics, avec juste ce qu’il faut de maniérisme dans les ornementations. »
Le Nouvel Alsacien
« La sonorité riche, chaleureuse, émouvante de Marianne Muller y fit merveille. »
Pierre Michel
« Marianne Muller a prouvé ici tout son savoir-faire, à la fois sur le plan technique (elle maîtrise remarquablement bien l’instrument) et surtout sur celui de l’interprétation. Son jeu ‘intérieur’ dans les pièces qui demandent une certaine retenue s’est également fait expansif dans les oeuvres (comme le ‘Labyrinthe’ du IIIè livre) où l’exécutant doit pour ainsi dire restituer une improvisation du compositeur. »